Merci beaucoup à Karin Soupart LouRyan pour cette belle mise en valeur de mes recueils de haïkus parus aux Éditions Unicité
Merci beaucoup à Karin Soupart LouRyan pour cette belle mise en valeur de mes recueils de haïkus parus aux Éditions Unicité
Merci à Michèle Lila Harmand de sa lecture attentive et enthousiaste du recueil Passion Haïku coordonné par Daniel Py aux Éditions Pippa, et d’avoir retenu l’un de mes textes dans ses 10 préférés
Lien pour le découvrir : http://www.pippa.fr/Passion-Haiku
Je cite :
Puisque j’ai le feu vert, j’ai opéré dans Passion Haïku (Daniel Py / Éditions Pippa) une petite sélection des mes textes préférés. Il s’agit des haïkus que j’aime, en plus de ceux, excellents, choisis par le coordinateur du livre dans sa préface. Un par auteur : inutile de vous dire que le choix a été difficile …
élaguant les branches
je rallume
le ciel
Hélène Duc
J’ai le très grand plaisir de vous annoncer la sortie du recueil collectif RÉSONANCES chez Jacques Flament Éditions, un collectif d’auteur(e)s dont j’ai l’honneur de faire partie avec l’un de mes textes.
Le principe : 25 photos de photographes de la maison vous étaient proposées auxquelles pouvaient répondre, en écho, un (ou plusieurs) textes de votre contribution.
Vous avez été 82 auteurs à répondre à cet appel pour 149 textes produits, de longueurs diverses.
Commander : http://www.jacquesflamenteditions.com/301-resonances/
Pour rappel : les droits d’auteur de cette opération iront à l’association MOTS ET MERVEILLES qui lutte contre l’illettrisme.
Un très bel ouvrage que je vous invite à découvrir, nombreuses et nombreux.
RÉSUMÉ
RÉSONANCES.
Quand les MOTS se font l’écho d’une IMAGE
25 PHOTOS
149 TEXTES
Factuel, sensuel, poétique, satirique…un recueil original pour faire vibrer le cœur et l’esprit.
ISBN : 978-2-36336-316-9
PAGES : 126
FORMAT : 210-297
PARUTION : 05/2017
COLLECTION : Hors collections
PRIX : 20 €
Merci infiniment à Audrey Imaginarium, administratrice du blog littéraire Light and Smell pour sa très bonne critique de mon recueil de nouvelles fantastiques De Cendres et d’écarlate. Voilà qui fait chaud au cœur et du bien au moral en ces temps difficiles où la disette règne pour ma plume et moi. Merci encore, Audrey !
AVIS GÉNÉRAL
Les six nouvelles sont très différentes les unes des autres tant au niveau de l’histoire que de l’atmosphère, mais elles partagent néanmoins un point commun, celui d’être portées par une présence féminine. J’ai ainsi apprécié que chacune des femmes ou, plutôt, créatures féminines imaginées par l’autrice possède du caractère et une certaine présence. Quelques-unes se dévoilent prédatrices quand d’autres sont victimes, mais toutes ont de la ressource et de la détermination.
Un point m’a, en outre, beaucoup plu dans ce recueil : les fins. En général, je suis une adepte des happy end, mais j’ai pourtant été complètement conquise par chacune des fins proposées par Hélène. Elles sont loin d’être très joyeuses, mais elles sont à chaque fois parfaites prolongeant l’angoisse et parfois, l’horreur de chaque histoire.
Si vous me suivez sur le blog depuis un petit moment, vous devez connaître mon amour des belles plumes. Et avec ce recueil, j’ai été plus que satisfaite. Il ne m’a fallu ainsi que quelques lignes pour comprendre qu’Hélène Duc faisait incontestablement partie de ces auteurs qui ont l’art de manier et sublimer les mots, mettant en valeur toute la beauté de la langue française. L’écriture élégante de l’autrice est, pour moi, une raison plus que suffisante de découvrir ce recueil.
S’il vous en faut d’autres, je vous propose de partager mon avis sur chacune des nouvelles. Dans la mesure du possible, j’ai essayé de vous en dévoiler le moins possible, mais si vous voulez garder la surprise que chaque titre promet, je vous invite à lire la suite de l’article après votre propre lecture.
AVIS SUR CHACUNE DES NOUVELLES
Dans cette première nouvelle, un jeune homme de dix-neuf ans nous raconte un événement qui lui est arrivé dans la nouvelle maison, réputée hantée, achetée par le patriarche de la famille. A l’issue de cet événement, il va faire une promesse qui, si elle offrira la liberté à l’un, enfermera l’autre dans une autre forme de prison, la tristesse.
Difficile de vous donner plus de détails, mais je peux dire que j’ai apprécié la manière dont l’auteure s’est réappropriée une créature connue de tous. J’ai également aimé l’atmosphère de cette nouvelle qui se fait délicieusement de plus en plus angoissante au fil de la lecture.
Changement total de décor avec cette nouvelle autour de Léa qui se rend en boîte avec sa meilleure amie, un an après avoir été violée. Elle y fera une rencontre décisive qui va la conduire à troquer sa place de victime pour celle de bourreau.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que cette nouvelle ne m’a pas laissée indifférente. Il faut dire qu’en mélangeant drame, érotisme et fantastique, l’auteure ne pouvait que susciter des émotions qui, en ce qui me concerne, sont passées de la colère à l’ennui pour finir par de l’étonnement.
De la colère contre la meilleure amie que j’ai trouvée révoltante dans sa banalisation du viol qu’elle transforme presque en petit incident qu’avec un peu de bonne volonté, on peut occulter… Ensuite, de l’ennui, car je n’aime pas les scènes érotiques même si je reconnais que l’élégance de la plume d’Hélène Duc m’a permis de ne pas sauter le passage concerné. Enfin, de l’étonnement, car la tournure fantastique que prennent les événements m’a prise de court ce que j’ai bien apprécié.
Bref, dans l’ensemble, j’ai trouvé l’histoire assez dérangeante sans pour autant qu’elle en soit déplaisante.
A travers différentes missives qu’il a rédigées à bord de l’Orient-Express, un écrivain narre sa rencontre avec une passagère, Miss Saphira qui est loin de l’avoir laissé indifférent. Comme nous sommes dans un recueil de nouvelles fantastiques, vous avez probablement deviné que cette demoiselle n’est pas comme les autres ce que va découvrir, à ses dépens, l’écrivain.
Le gros point fort pour moi de cette nouvelle est l’ambiance que le huis clos dans le train permet d’instaurer. A mesure que l’on découvre les lettres de l’écrivain, on sent son changement d’humeur : il passe ainsi d’homme transporté par l’émoi amoureux à un individu en proie au doute avant de finir par être rongé par l’angoisse.
Appréciant les lettres, j’ai beaucoup aimé découvrir l’histoire de cet écrivain et celle de Miss Saphira par ce biais. En plus d’apporter un charme presque désuet à l’histoire, cela induit un certain suspense puisque l’on attend avec impatience chaque lettre, chacune d’entre elles nous rapprochant de la révélation sur qui est réellement Miss Saphira.
Dans cette nouvelle, l’autrice nous narre les retrouvailles charnelles entre un homme, de retour à Londres, et son amante qui, comme vous le découvrirez, a une singulière particularité et, accessoirement, un sacré caractère. D’ailleurs, le protagoniste de notre histoire va en faire les frais…
L’expression « donner sa langue au chat » prend une toute autre dimension sous la plume d’Hélène Duc ! Bien que je n’aie aucune appétence pour les histoires érotiques, j’avoue avoir lu sans ennui cette nouvelle, fortement intriguée par son aspect fantastique. Sa langue au chat fut donc une expérience de lecture originale et intéressante.
Bienvenue dans le Far West avec ses diligences, ses braquages de banque, ses Indiens, ses chasseurs de primes, ses figures emblématiques sans oublier ses extraterrestres. Oui, oui, j’ai bien écrit « ses extraterrestres » même s’il faut bien admettre que ces personnages venus d’ailleurs ne sont pas forcément associés au Far West, du moins, pas en ce qui me concerne.
J’ai donc été agréablement surprise quand j’ai découvert cette nouvelle où la science-fiction fait une entrée très réussie au pays des cow-boys. Alors que je ne lis quasiment jamais de science-fiction, le mélange des genres m’a conquise d’autant que j’ai apprécié le retournement de situation à la fin.
Nous découvrons une jeune femme dépressive qui va commettre un geste désespéré dont elle n’aurait jamais pu anticiper les conséquences…
J’ai eu un problème assez personnel avec cette nouvelle puisque ma phobie relative au sang en a rendu, au début, la lecture assez difficile. Heureusement, l’ambiance des premiers paragraphes évolue nous offrant une atmosphère moins sanguinolente et plus fantastique.
J’ai, en outre, apprécié la manière dont l’autrice aborde la dépression même si c’est de manière sommaire. Elle montre bien que malgré une vie en apparence parfaite, une personne peut néanmoins être victime de cette maladie. Cela me semble important à rappeler, car bien souvent, la dépression chez les personnes qui ont tout ce qui leur faut est très mal acceptée dans la société. L’angoisse de l’abandon est aussi évoquée puisque la rupture avec son petit ami va raviver, chez notre héroïne, des souvenirs assez difficiles.
J’ai trouvé que cette nouvelle se démarquait assez des autres que ce soit par les sujets abordés ou la fin réservée à l’héroïne. A noter également que le titre de l’histoire est, en ce qui me concerne, celui qui est le plus parlant du recueil. Il retranscrit parfaitement l’expérience ultime que va vivre cette femme qui n’appréciait plus sa vie.
CONCLUSION
Pour conclure, j‘ai beaucoup aimé parcourir les six nouvelles qui composent le recueil et découvrir des figures féminines intéressantes, parfois fascinantes. De cendres et d’écarlate fut donc une lecture très plaisante autant pour les instants de détente que le livre offre que pour le bonheur de savourer la finesse de la plume d’Hélène Duc. En quelques mots parfaitement choisis, elle arrive ainsi à nous immerger complètement dans ses histoires où se mêlent fiction et réalité.
Bonne nouvelle !
Depuis hier, 10 mai, le recueil de haïkus » Liberté Égalité Fraternité » est sorti en libraire ! Vous pourrez y retrouver une sélection de mes textes. N’hésitez pas à vous le procurer 🙂
Pour plus d’information, rendez-vous sur le site : http://editionsenvolume.com/
Bonne découverte !
Quand tu reçois un magnifique retour de lecture sur ton recueil de nouvelles, ça fait beaucoup de bien à ton petit cœur 🙂 Merci mille fois à Sandrine Waronski – Auteure pour sa lecture et sa belle critique ! Je suis vraiment très touchée !
Sandrine Waronski – Auteure à Hélène Duc Officiel – Auteur
Bonsoir Hélène, Je viens d’achever la lecture de ton recueil de nouvelles fantastiques « De cendres et d’écarlate 🙂 C’est un bijou d’écriture : un style bien enlevé, un vocabulaire riche et une très belle imagination… Plonger dans l’univers fantastique ne m’est pas chose habituelle, mais j’avoue m’être laissé transporter par toutes ces figures de femmes. Un petit plus pour « Sa langue au chat » ♡ Bonne continuation dans tes projets littéraires
Merci à la blogueuse Passions addict pour cette chronique positive sur mon recueil de nouvelles fantastiques De cendres et d’écarlate et le joli 4/5 qu’elle attribue à l’ensemble
Son avis :
J’ai été de suite attirée par la couverture et la présentation de ce recueil de nouvelles. Je remercie d’ailleurs Héléne pour ce SP et sa confiance, chacune de ces nouvelles ont un type différent d’héroïnes j’ai bien aimée le fait qu’il soit féministe , la plume de l’auteur est fluide et agréable merci à toi Héléne pour la découverte et de m’avoir emmener avec toi dans cet univers fantastique.
Ma note: 4/5.
Lien de l’article : https://passionsaddict.wordpress.com/2017/05/09/chronique-de-cendres-et-decarlate/
J’ai le plaisir de vous annoncer la sortie (numérique) de l’anthologie policière Les yeux du tueur, coordonnée et présentée par Yves-Daniel Crouzet au prix de 3,99 € dans la collection Egnima de Ivrebook. Au sommaire, ma nouvelle noire Passage à l’acte 😃
Résumé
Tueurs en série, femmes fatales et petits diables sanguinaires, voilà ce que vous propose, entre autres, l’anthologie Les yeux du tueur.
Six textes noirs triés sur le volet par Yves-Daniel Crouzet, pour vous faire frémir et vous rappeler que le mal est partout. Surtout où on l’attend le moins !
Disponible le 06 mai chez L’ivre-Book – FNAC – Immatériel – ActuSF – Amazon – Google Play – e-Leclerc – Cultura – Bookeen – Kobo – Nolim Carrefour – Archambault – Chapitre.com – Decitre
Lien pour l’achat :
https://ivrebook.wordpress.com/2017/05/05/les-yeux-du-tueur-presente-par-yves-daniel-crouzet/